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charly green polars

16 mars 2013

Charly Green, le polariste du XXI° siècle

Charly Green, le polariste du XXI° siècle
Charly GREEN rénove le style du polar. Abruti par la vie quotidienne, vous avez envie de vous détendre. Charly est là. Le polar humoristique, le drame sans les larmes, l'esprit sans "la grosse tête", l'humour à fleur de peau vous entraîneront dans un...
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28 octobre 2013

Méfiez-vous du Patchouli

patchouli

L'essence obtenue a une odeur puissante et complexe, boisée, terreuse, moisie, camphrée qui peut rappeler l'odeur d'un bouchon de vin ou d'une pomme trop mûre. JeanBé, l'Inspecteur principal du Commissariat du Port développe une allergie au Patchouli. Cela ne serait pas trop grave si JeanBé ne marchait pas à l'instinct. Ruben Quinquet a eu du renfort, car la Belle Utéro va le menacer des boeufs-navets, mais il va se consoler avec Mélinda. Un petit extrait, mais tout petit, car mon éditeur unique et préféré n'a pas eu encore le temps de le lire... Et puis vous savez, moi, je n'aime pas les extraits... quand on sort du consexe, ça foire tout.

Elle avait la douceur et la persévérance des femmes qui ont à faire aux bandants laborieux, à ceux dont la concentration demande un effort mental, qui dresse une tour génoise du X° siècle pour enfoncer des portes ouvertes. Ruben était encore vert et Mélinda se retrouva à croupeton sur la police du quartier qui traquait à découvert. Elle prit le galop à un train d'enfer et siffla trois fois. Le final fut une apothéose, un classique que Clarck Gable n'eut pas renié dans "Autant en emporte le vent" (du large évidemment.) Essoufflé par les efforts de Mélinda Cheval, Ruben siffla le dernier verre de vin blanc liquoreux, passa dans la salle de bains attenante et, dans une dernière caresse sur le train arrière du Titanic, prit congé.

 

XXXX

12 octobre 2013

Une critique, une bonne...mais je n'en ai pas eu de mauvaises...

"Le cri de la moule le soir au fond du bar est une enquête totalement barrée. Une trame policière de base : un meurtre et des suspects qui cachent une affaire plus grosse. Sauf que l’ensemble est loufoque. J’aimerais bien vous donner un exemple mais je n’ai pas envie de vous spoiler le fun ! Mon passage préféré est la découverte de la victime et le comique de situation : une histoire de moule-frite (au propre comme au figuré). Ou alors l’interrogatoire à coup chaussure (ah la torture…).

Mais ce n’est pas que du comique de situation, Charly Green sait manier les mots pour nous pondre des jeux de mots funky, notamment avec les prénoms et noms des personnages ou bien via des contrepèteries et autres entourloupes linguistiques qui me font bien rire."

La totalité de l'article est à lire ici: 

http://helran.fr/lecture/book/le-cri-de-la-moule-le-soir-au-fond-du-bar/

15 mai 2013

LE CON !

C'est toujours délicat d'évoquer les cons. Moi je les aime bien. Ils ont une poésie pragmatique que je n'ai pas.
pastisHD

De surcroit, chacun fait le con de temps en temps... Mais il y a le Con Magnifique qui ne s'appelle pas Gatsby et celui-là vaut son pesant d'or...Cannes et son Festival devront un jour s'en occuper. En attendant je vous offre un extrait de:

"Le cri de la moule le soir au fond du bar"

"C'est vraiment très difficile d'entretenir des relations avec un con. Pas le con ordinaire, celui qu'on se bichonne, qu'on se peaufine, qu'on aime bien, mais le con absolu, celui que l'on canonise, car il est un summum. Ce genre de con est rare. Il vous déstabilise par ce qu'il ne voit jamais comme vous, l'angle de son regard étant plus obtus. Le vrai Con, c'est celui qui ne mesure pas la vie à la bonne aune. Doué pour la poésie pragmatique, il réduit tout à sa mesure, vous minimise l'espace, vous obture une vision qui pourrait lui donner le vertige. Voilà, le con c'est l'antivertigineux type. Au sens médical du terme. C'est un remède qui vous protège des grandeurs, des idéaux et des passions dévorantes.

Un Con, un vrai, c'est un Lexomil en dose maximale. Voilà pourquoi Ruben Quinquet aurait bien mis Gilles Graillou dans un bocal, avec un mélange judicieux de formol et d'alcool. Quand on en a un comme cela , on se le garde..."

C'est ICI :http://numeriklire.net/2013/04/09/le-cri-de-la-moule-le-soir-au-fond-du-bar-de-charly-green/

 

15 mai 2013

Une pièce exceptionelle

 

 

Photo du 38890060-05- à 10

C'est une pièce exceptionnelle, assez décolorée il est vrai, mais c'est la casquette de JeanBé, celle qu'il porte à l'envers. Ruben Quinquet, le Commissaire, le soupçonne de coucher avec. Achetée sur le port de Marseille, rescapée de multiples interrogatoires musclés, elle est ordinairement sous vitrine au Musée de la Police.

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11 avril 2013

PEUT-ON RIRE DE TOUT ?

12e1dda21844e47995435bb6b71a3dacC'est une question récurrente. À chaque fois qu'un comique tourne en dérision un sujet qui fait pleurer dans les chaumières, on la pose avec un soupçon de sentiment horrifique.

Je brocarde les flics, les assassins et les assassinés, je brocarde les prostituées et les macs. La simple témouine, elle aussi, passe par les fourches caudines de mon observation moqueuse. Faut-il en conclure une iconoclastie congénitale ?

Pas forcément.

Simplement, assassins, flics et prostituées font partie de l'humanité au même titre que nous, simples témoins. Alors je les considère avec bonhommie, mais pas avec indulgence pour les plus répréhensibles.

À l'heure où nous ne pouvons respirer un peu fort sans aussitôt sentir le feu de la répression et de l'interdiction planer sur nos épaules, je prends le parti de rire, la dernière arme, après les larmes. Ambiguïté.

Ruben Quinquet, mon héros, entame une carrière prometteuse, mais si vous me permettez un conseil, commencez par "Un pastis sinon rien" (après : au gré de votre intuition.) Dans cette première enquête, je m'attarde sur la description de l'équipe de Ruben, afin de vous rendre attachants ces Dieux de l'enquêture. Dans chaque opus, vous retrouverez des traits caractéristiques pour chacun.

Les quatre enquêtes indépendantes sont maintenant présentes partout. Sur votre site de librairies numériques préférées, vous tapez "Charly Green" et on vous présentera les quatre. Avec extraits.

Le "Blog de Dzahell" vient de publier une critique que je vous recommande:

http://dzahell.fr/un-pastis-sinon-rien-de-charly-green

http://pinterest.com/pin/49328558390935039/

http://numeriklire.net/2013/04/06/paroles-dauteurs-charly-green-lhumour-a-fleur-de-flingue/

Préparez votre WE, ne laissez pas passer une occasion de rire...

3 avril 2013

Je vous avais dit...

 

Je vous avais dit que je vous préviendrais...Longue vie à Ruben Quinquet...

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C'est signé. Longue vie à Ruben Quinquet

16 mars 2013

RUBEN QUINQUET

 

                                                    RUBEN QUINQUET

                                                    C'est  LE  commissaire principal dans tout ce qu'il a de caricatural, mais surtout d'hors-norme.pastisHD

Son commissariat ?

Sur le port de Marseille

Des habitudes, des vices, des manies...Il marche à l'instinct et à l'Armagnac.

Il y a aussi JeanBé. C'est son adjoint,mais celui-là, il est inénarrable, donc, je ne le narre... que dans le roman.

Les titres:

Un pastis sinon rien

Bouillabaisse et p'tites pépées

Ruben chez les Barbares

    Le cri de la moule, le soir, au fond du bar...

 

16 mars 2013

Le rire, c'est sérieux !

Vous pensez qu'en tant qu'écrivain, je ne prends pas le style polar au sérieux. Vous vous trompez

Il n'y a pas de petite littérature. Mais nous sommes obligés de faire un constat. Autant il est facile de susciter la peur chez le lecteur, (c'est un levier aisé), par du sang, des tripes, des cris, des horreurs multiples, autant il est difficile de le faire rire.

Pour faire peur, on stimule votre imagination. Pour vous faire rire, il faut vous surprendre... Vous piéger. Alors j'ai décidé de vous piéger pour le meilleur et pour le rire.

 

Mes Outils

 

Des mots, toujours des mots... Des mots suggestifs, inventés, musicaux. Des anagrammes, des locutions, des champs sémantiques sans aucune frontière, à tiroirs, des métonymies, des paronymies, des emprunts à d'autres langues, naturalisées ou pas !

J'invente, je désosse, je transforme, je me permets une alchimie du Verbe totalement créative à l'instar du "Je suis", d'un Golem se moquant de lui-même.

 

Nous jouons et nous nous comprenons grâce à mes personnages. Ils sont autour de vous ! Certains vous ressemblent. Vous les reconnaîtrez.

 

Pêle-mêle, pour les permanents du spectacle:

 Ruben Quinquet

 JeanBé

 Inspecteurs Dubois

                  Durand

                  Ducon

                 Bouillon, Graillou, Jules et tant d'autres...

 

Alors, prêts ?

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  • Le polar humoristique, le drame sans les larmes, l'esprit sans "la grosse tête", l'humour à fleur de peau vous entraîneront dans un texte dont la densité vous fera hoqueter de rire à chaque phrase. Et pourtant... l'intrigue est là.
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